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LIBELLULE
6 décembre 2006

COLERE

Chaque jour est différent. Trop différent. Un jour, la joie se propage du matin au soir sans savoir pourquoi puis le lendemain ce ne sont que des mauvaises nouvelles. Depuis une dizaine de jours, le yoyo ne se stabilise plus. Dès que je digère le tracas et m'épanouie à nouveau, un nouveau souci pointe son nez. Je suis un peu fatiguée de cela. Je veux bien prendre sur moi, faire du sport pour évacuer, avoir mal au ventre puis rire à nouveau, faire la fête et me dire que tout va bien mais aujourd’hui s’en est trop. Avait-on besoin de m’apprendre par mail à 9h00 ce matin que mon ancien amour avait refait sa vie et qu'il était papa d'un petit garçon. "De l'eau a coulé sous les ponts non ? " m'a t'on dit... Mais de quel droit !

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Commentaires
L
Anjelica :Merci à toi. La blessure est refermée mais c'était une accumulation, un ras le bol.
A
Puisque c'est ailleurs<br /> Qu'ira mieux battre son cœur<br /> Sans drame, sans larme<br /> Pauvres et dérisoires armes<br /> Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur<br /> <br /> Ce n'est pas ces quelques phrases qui vont te consoler, je m'en doute mais je les ai toujours trouvé très belles et elle me semble convenir à cette blessure,non refermée, il me semble...
L
ACO : Tu ne passes pas souvent mais toujours là quand j'en ai "gros sur la patate". Merci à toi.<br /> <br /> Richard : Je prends les bises avec plaisir. Pas de vacances prévues et donc pas de projet : Grrrr. Je vais y réfléchir sérieusement ! bises.
R
rien à dire si ce n'est te faire de douces bises (penses à tes prochaines de vacances...)
A
Certainement pour te consoler (si besoin en est)... Certains mots que l'on dit à cette fin sont parfois maladroits. Quoi qu'il en soit, rien n'arrête l'eau qui coule et sous le pont Mirabeau...
LIBELLULE
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